C’était une fin d’après-midi dorée lorsque j’ai posé mes valises à Rome. La lumière caressait les façades ocres et les clochers résonnaient doucement dans le ciel. En flânant vers le Colisée, j’ai senti battre le cœur de l’Histoire, chaque pierre murmurant les récits d’un empire éternel.
Mon voyage m’a ensuite menée dans les Pouilles. Entre les trulli d’Alberobello et les oliviers centenaires, j’ai découvert une Italie rurale, authentique. Les plages aux eaux turquoise et les villages blancs m’ont enveloppée d’une douceur infinie. Le soir, les terrasses s’animaient, les rires s’élevaient dans l’air parfumé de focaccia et de vin local.
Puis, direction la Côte Amalfitaine. Une route sinueuse suspendue entre ciel et mer m’a conduite de Positano à Ravello. Chaque virage dévoilait une carte postale vivante. À Procida, petite île colorée et paisible, j’ai trouvé un refuge hors du temps. À Florence, le rooftop de l’hôtel Continentale m’a offert un apéritif face au Ponte Vecchio, baigné de lumière dorée.
Mais l’Italie, c’est bien plus encore… C’est la Sicile, volcanique et intense, avec ses temples grecs et ses marchés effervescents. C’est l’Ombrie, verte, secrète, spirituelle, entre villages perchés et collines douces. Ce sont les Cinque Terre, accrochées à la mer, éclatantes de couleurs et de vie. Ce sont les Dolomites, minérales et majestueuses, parfaites pour randonner et s’émerveiller.
Enfin, le lac de Côme. Les jardins de la Villa Balbianello semblaient sortis d’un rêve. Le silence de l’eau, la grâce des cyprès et les villas somptueuses invitaient à la contemplation.
L’Italie, c’est une caresse pour l’âme, un hymne à la beauté. Elle se goûte lentement, passionnément.